vendredi, octobre 31, 2008

Des nouvelles sur l'assassinat de Freddy Villanueva...

Un peu de développement sur l'affaire Villanueva, ce jeune abattu par des flics du SPVM à Montréal Nord, le 9 août dernier. Selon le Devoir, il aurait été abattu par le flic Jean-Loup Lapointe.

L'agent Lapointe a tiré quatre fois sur le jeune homme, mais l'a atteint à trois reprises, dont deux mortellement, d'après le rapport du coroner. Une enquête qui traîne en longueur et qui, parions le, disculpera encore un flic assassin...

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Pour commencer, flic n'est pas un mot de la langue française, et se commentaire est sans intérêt réel puisqu'il ne parle pas de la situation, mais des conséquences subites. Une recherche plus approfondit sur le sujet qui expliquerait la situation réel, sans pour autant être subjective, serait de bien meilleur goût. Je suis sur que l'on pourrait dire autant de mal du défunt si l'on utilise cette méthode. Il ne suffit pas que d'écrire se que l'on pense pour juger quelqu'un.

acetaminophe a dit…

Wow, quel commentaire dégeulasse. Moi, je trouve d'"intérêt" de savoir s'il y a des tueurs armés qui se promène en liberté ou non.

Dictionnaire Français Plus :
flic
n. m.
Pop. Policier. Orig. incert.

Dictionnaire Québécois d'aujourd'hui:
1. flic
n. m. Fam. Agent de police. fam. boeuf, 1. chien, 2. poulet. Sa maison est surveillée par les flics.

Petit Larousse :
flic
nom masculin
(argot allemand Flick, jeune homme)
Fam. Agent de police.
Par ext. Tout policier.

Robert:
flic
[flik] n. m.
1856; fligue«commissaire» v.1830; fligman 1792; p.-ê. all.Fliege«mouche, policier»
1 Fam.Agent de police et parext. Policier. cogne, poulet; arg. 3.bourre, vache. Appeler les flics. Se faire embarquer par les flics. flicaille. Flic en civil. condé. Car de flics. « j'irais descendre un flic sur la place Royale » (Sartre). Vingt*-deux voilà les flics ! Appos.Une femme flic (oufliquesse,fliquette).

2 Parext. Péj.Personne qui aime faire régner l'ordre, surveiller. C'est un vrai flic ! ( flicage, fliquer).

Anonyme a dit…

C'est un anglicisme et un joual québécois!
Selon ton commentaire, il aurait mieux fallu que le policier meurt par son arme prit par son assaillant?? Ou Bien par les coups donnés par ces mêmes assaillants?
Les gens se plaignes de la mauvaise sécurité, et maintenant que «un» fait son travail et que celui si est menacé de mort, on doit le juger?
Absolument pas, cette personne n'avait aucun droit de lui sauter dessus et de vouloir le tuer, sa vie n'était pas menacée surtout aux nombres qu’ils étaient.
Le policier était dans son droit, donc le terme assassin n'est pas pointé vers la bonne personne.
Le policier ne voulait aucunement faire une arrestation à la base, il voulait seulement un nom, se n'est pas lui qui a été menaçant. Même qu'il est resté très diplomate après avoir demandé à plusieurs reprises d'avoir son nom.
Je ne connais pas cette personne, mais je crois qu’il n’avait pas le choix vu la situation et qu’il mérite d’être blanchi.

Makhno a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Makhno a dit…

Origine incertaine, argot allemand..C'est ce qu'indique les différentes sources du dictionnaires. Ça n'a donc rien de joual, puisque les français utilisent le terme depuis longtemps. Et anglicisme?Si ça provient de l'allemand, ça n'a rien à voir. N'empêche le terme est accepté par l'Académie de Langue Française comme beaucoup de mot que nous utilisons couramment.

"Il ne suffit pas que d'écrire se que l'on pense pour juger quelqu'un"

(...)
"Même qu'il est resté très diplomate après avoir demandé à plusieurs reprises d'avoir son nom."

Hum ça semble te rendre émotif ou émotive(je ne sais pas puisque c'est anonyme). Tu parles comme si tu étais sur les lieux, ou que tu connaissais plutôt un peu trop bien l'histoire. Le policier meurtier c'est ton collègue?

acetaminophe a dit…

Tu racontes la version des faits du l'accusé, évidemment qu'il va témoigner de façon à présenter les faits à son avantage (dans un rapport remis plus d'un mois après les faits). Il y a au moins un autre témoin qui dit que Fredfy n'a pas touché le flic.

Mais plus important, le mot "flic" n'est pas un anglicisme, il vient de l'allemand comme c'est marqué dans le Larousse et le Robert et ce n'est pas du tout québécois, il y a même une citation de Sartre dans le Robert. (Sartre n'est pas québécois).

Le mot "cops" par contre est un anglicisme québécois.