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jeudi, mai 03, 2012

Émeutes et globalisation - Conférence avec Alain Bertho





L'Union communiste libertaire (collectif de Montréal) vous invite à une conférence présentée par Alain Bertho, anthropologue et auteur du livre «Le temps des émeutes». La conférence sera suivie d'une discussion animée par Marc-André Cyr.

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JEUDI 10 MAI, 16h
Comité Social Centre-Sud
1710 rue Beaudry, Montréal
(métro Beaudry)

Entrée libre.

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«Il va falloir que la population le sache. On est en train de mettre à feu et à sac la province pour 1$ par jour d'augmentation.»
-- Guy Breton, recteur de l'Université de Montréal

L'émeute, c'est l'étranger, le barbare intérieur qui en veut à notre société tranquille. À entendre notre élite en discuter, elle serait sans signification, sans raison et à milles lieux de la politique. Comment pourrait-il en être autrement: ne vivons-nous pas en "démocratie"?

L'émeute est pourtant plus présente que jamais dans l'actualité. Si on tente de la comprendre avec les mots du pouvoir, de l'élite et de la police, nous sommes condamné-e-s à ne pas la saisir. Pour la connaître, c'est à partir de ses motivations propres qu'il faut l'appréhender. C'est à cet exercice que nous convie l'anthropologue français Alain Bertho.

Par-delà les visages masqués et les nuages des lacrymogènes, quel est donc ce message que tente de nous dire l'émeute et que nous refusons de voir?

lundi, octobre 18, 2010

Assemblée publique : En lutte contre le budget 2010



En dévoilant son dernier budget, le gouvernement libéral a une fois plus dévoilé son parti pris : celui des classes riches au détriment des classes populaires. Malgré une situation stable économiquement, le Québec ayant été pour l’heure relativement épargné par le crise économique (déficit de 1,6% du PIB contre 9% pour les États-Unis), le gouvernement a poursuivi son offensive contre la qualité et l’accessibilité des services publics. En réaction à ces reculs sociaux, plusieurs initiatives et mobilisations ont récemment forcé le gouvernement à abandonner l’introduction d’un ticket modérateur. Il faut continuer cette lutte afin que la totalité des mesures régressives soient abandonnées.

C’est pourquoi dimanche le 7 novembre
aura lieu, de 13h à 17h, une Assemblée publique portant sur la LUTTE CONTRE LE BUDGET 2010 du gouvernement du Québec. L’assemblée se tiendra au Centre St-Pierre, situé au 1212 rue Panet (métro Beaudry). Elle débutera par un court exposé sur le budget et quelques panélistes seront invité-e-s à faire part de l’état des luttes dans leur secteur. Le public sera par la suite invité à contribuer à cet échange en faisant entendre ses idées, stratégies et perspectives de lutte.

Des tables pourront également être réservées pour y placer journaux, tracts, etc.


Au plaisir de vous y voir!


Dimanche 07 novembre
13h à 17h
1212 rue Panet
(métro Beaudry)

mardi, juillet 06, 2010

[Conférence] Matinik Doubout:Lutte anticolonialiste et lutte de classe en Martinique et dans les Antilles.

(english version below) 


L’Union Communiste Libertaire-Montréal vous convie à une conférence estivale.

Quoi?Conférence avec l'auteur du livre Matinik Doubout.
Quand?Jeudi le 22 juillet 2010 @ 19h
Où?4525 rue St-Jacques à Montréal (métro Place St-Henri)

En février-mars 2009, la Martinique a été secouée par le plus puissant mouvement populaire du siècle dernier. Des milliers de Martiniquais-es se sont retrouvé-es dans un mouvement de grève générale qui s’est étendu comme une trainée de poudre dans les Antilles Françaises.

Nemo, enseignant, témoin et acteur de ces événements et militant d’Alternative libertaire présentera une conférence qui traitera de la lutte anticolonialiste et de la lutte des classes en Martinique ainsi que dans les Antilles. Il est l’auteur du livre Matinik Doubout, qui raconte au jour le jour le mouvement de 2009 et analyse les perspectives politiques et économiques qu’il a ouvertes.

Cette conférence abordera l’historique de ces luttes, la situation actuelle ainsi que les perspectives à l’ombre de la crise économique mondiale. Cette conférence sera suivie d’une période de discussion et de questions.

La conférence sera en français, mais une traduction chuchotée vers l'anglais sera disponible.

EDIT: Si vous souhaitez lire une critique du bouquin, voir le billet ici.

vendredi, mars 12, 2010

Black Flame tour-Conférence montréalaise avec l'auteur Michael Schmidt.


L'UCL-Montréal vous convie à une conférence de l'auteur sud-africain Michael Schmidt qui présentera son livre Black Flame: The Revolutionary Class Politics of Anarchism and Syndicalism. La tournée ontarienne organisée par nos camarades de Common Cause s'arrêtera pour une seule conférence au Québec.



La conférence montréalaise organisée par l'UCL aura lieu jeudi le 18 mars au D.I.R.A.(2035 St-Laurent) à 18h30.

L'écrivain et militant sud-africain Michael Schmidt, co-auteur du livre « Black Flame: The Revolutionary Class Politics of Anarchism and Syndicalism », sera à Montréal pour discuter de ce nouvel ouvrage important sur l'histoire des mouvements et des idées anarchistes.

South African writer and activist Michael Schmidt, co-author of “Black Flame: The Revolutionary Class Politics of Anarchism and Syndicalism” will be in Montreal to promote and discuss this important new book on the global history of anarchist movements and ideas.

samedi, mars 06, 2010

Black Flame tour-Conférence montréalaise avec l'auteur Michael Schmidt.

L'UCL-Montréal vous convie à une conférence de l'auteur sud-africain Michael Schmidt qui présentera son livre Black Flame: The Revolutionary Class Politics of Anarchism and Syndicalism. La tournée ontarienne organisée par nos camarades de Common Cause s'arrêtera pour une seule conférence au Québec. La conférence montréalaise organisée par l'UCL aura lieu jeudi le 18 mars. Nous aurons plus de détails à vous fournir dans les prochains jours. Inscrivez donc cette soirée dès maintenant à votre agenda...

South African writer and activist Michael Schmidt, co-author of “Black Flame: The Revolutionary Class Politics of Anarchism and Syndicalism” will be in several Ontario cities between March 15 and March 21 to promote and discuss this important new book on the global history of anarchist movements and ideas. The tour, organized by Common Cause with support from AK Press and several local sponsors, is scheduled to pass through the following cities listed below.
To promote the tour Common Cause has also produced a short video which can be seen here and set up a Facebook page. Copies of "Black Flame" will be available for purchase at each tour stop.


Common Cause a aussi produit un petit vidéo pour faire la promo de la tournée.

mardi, février 09, 2010

On nous fiche... Ne nous en fichons pas!


Voici un évènement très intéressant organisé par nos camarades de La Pointe libertaire ainsi que par les services juridiques de Pointe Saint-Charles.

Nous sommes surveillé-e-s….. Comment, par qui ? Qui utilise ces informations, dans quel but ? Pourquoi s’inquiéter ? Telles sont les questions qui seront abordées par nos conférenciers.


Au nom de la sécurité, des mesures de toute sorte sont mises en place par nos gouvernements : notre utilisation d’Internet et nos déplacements sont surveillés ! Pensons aux listes de citoyen-e-s interdit-e-s de vol ou de voyage, aux permis de conduire Plus, à la carte Opus, aux scanners corporels dans les aéroports, aux certificats de sécurité, etc.

Nos droits sont ainsi bafoués. Avec les progrès des technologies, le Canada se dirige dangereusement vers une société de surveillance. Qu’en est-il du droit à la vie privée, de la liberté d’expression, du droit de manifester ? Ne nous laissons pas ficher !


Conférenciers


Dominique Peschard
(Ligue des Droits et Libertés)

et

Alexandre Popovic
(Coalition contre la répression et les abus policiers)


Jeudi 18 février @ 18h30
Carrefour d’éducation Populaire
(2356, Rue Centre, Métro Charlevoix)

Veuillez réserver votre place au numéro suivant
514-933-8432
ou par courriel
servjur@bellnet.ca

mercredi, janvier 27, 2010

Cause Commune Express: Tournée "Usines sans patrons"

Argentine : De la crise à l'insurrection

En mai 2000, le gouvernement de la Rua annonce une série de mesures afin de rendre l'État argentin conforme aux volontés néolibérales du FMI: baisse de 12 à 15% des salaires des fonctionnaires, réduction majeure des dépenses, privatisation, etc. Le tout plait effectivement aux bonzes du FMI puisqu'ils allouent 40 milliards de dollars en prêts à l'État argentin. Mais la crise semble indomptable puisque déjà l'année suivante le pays en est à son onzième plan d'austérité approuvé par le FMI et les seuls résultats palpables de ces mesures semblent être le nombre grimpant de manifestations, d'émeutes, de grèves et de coupures de routes (les piqueteros). Pendant cette période, on évalue à 2000 le nombre d'individus par jour passant de la "classe moyenne" à la "classe pauvre" et à 25% le taux de chômage; sans compter que le spectre de la banqueroute n'est jamais bien loin, à un point tel que le 1er décembre 2001 les liquidités des banques sont épuisées et que le gouvernement doit limiter par la loi les retraits des particuliers.

En décembre 2001, les émeutes comptent plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de pillards (pauvres, chômeurs ou membres déchus de la classe moyenne) qui s'en prennent aux supermarchés, aux entrepôts, aux boutiques, etc.) Les troubles sont si préoccupants que l'état de siège est décrété par les forces de l'ordre: tout regroupement public de plus de deux personnes est interdit et que la censure est rigoureusement appliquée aux médias. La répression, qui a déjà fait quelques morts, se fait sentir au maximum, mais les émeutes continuent de plus belle et sont désormais doublées de cette pratique qui avait fait grandement pression sur la dictature militaire dans les années 1970, les "concerts de casseroles" (cazerolazos) qui regroupent, chaque jour et partout à travers le pays, plusieurs milliers d'individus.

Dans la soirée du 19 décembre, une manifestation spontanée regroupant plus d'un million de personnes a lieu à Buenos Aires. Devant le palais présidentiel, la foule en colère réclame la démission des hommes politiques. Le tout se termine dans la nuit par une émeute majeure qui balaiera les institutions bancaires et les multinationales et lynchera plusieurs policiers. Lors de ces troubles, plusieurs milliers de messagers à moto (motoqueros) participent aux affrontements; ces derniers, par leur connaissance de la ville et leur mobilité, amorcent ainsi un mode d'action qui allait être reconduit à de nombreuses reprises.

Des évènements semblables ont lieu dans au moins une douzaine de villes du pays. À Cordoba, la mairie est occupée. On y tient une assemblée avant d'y mettre le feu et de dresser des barricades. Le lendemain matin, la révolte se poursuit, un manifestant raconte: " Les gens allaient, venaient, les cortèges se recyclaient, les avenues se vidaient puis se remplissaient à nouveau d'hommes, de femmes, de familles avec leurs chiens... C'était quelque chose d'impressionnant parce que totalement spontané... ". Cette journée sera ponctuée par une foule d'évènements majeurs semblables à la veille… combats de rues, pillages, assaut d'une foule en colère contre la maison du président, etc. À l'évidence, la révolte devient insurrection.

Mais ces manifestations de souveraineté populaire attirent évidemment son contraire : la répression, qui est à la hauteur de la réputation qu'elle s'est forgée pendant la dictature. De ces quelques semaines d'affrontement, on compte 35 tués, des centaines de blessés et des milliers d'arrestations (officiellement 3273). Plusieurs témoins racontent que des tueurs en civils se faufilaient dans la foule afin d'abattre des militants-e-s d'une balle dans la nuque. Les autorités ne savent décidément pas comment réagir: le président de la Rua démissionne et doit être évacué par hélicoptère. Le nouveau président, Adolfo Rodriguez Saa promet un moratoire sur le paiement de la dette extérieure et la création d'un million d'emplois.

Mais les manifestations se poursuivent… et l'année 2001 se termine par la démission du président Saa, bientôt remplacé par Duhalde. Les concerts de casseroles, les coupures de routes, les émeutes et les manifestations reprennent dès janvier. Dans la ville de Mosconi, les émeutiers prennent la garnison du commissariat en otage et brulent l'édifice. À Junin, 600 manifestants brulent la maison d'un député. Le 28 janvier, plus de 15 000 piqueteros soutenus par les assemblées de quartier convergent au centre de Buenos Aires. Le nombre de piqueteros - et de piqueteras, puisque les femmes sont très nombreuses lors de ces actions: elles forment jusqu'à 70% des effectifs - est d'ailleurs depuis le début de la crise leurs regroupements sont en pleine expansion: de 1383 qu'ils étaient en 2001, ils passent à 2336 en 2002.

Les émeutiers délaissent désormais les supermarchés pour mieux s'en prendre aux banques, sans compter que les assemblées de quartiers, progressivement, se fédèrent entre elles afin de coordonner l'insurrection. Ces assemblées, qui se comptent par centaines, transfigurent la critique en acte et en parole. Réunissant parfois plusieurs milliers de personnes, elles permettent au peuple de reprendre tout ce qui le concerne en main, sans avoir recours à la médiation de l'État ou d'une quelconque institution bourgeoise. Fonctionnant de façon horizontale et non hiérarchique, elles prennent une telle ampleur que les dirigeants politiques croient devoir rappeler qu'aux termes de la constitution:

Le peuple ne délibère pas et ne gouverne que par l'intermédiaire de ses représentants... Il faut arrêter la fantaisie des gens dans la rue qui disposent de ce qui doit ou ne doit pas se faire... Il... faut adresser des pétitions aux autorités... de façon ordonnée et sensée au lieu de les livrer en pâture aux agitateurs habituels...

Cette insurrection a pris tout le monde par surprise, aucun syndicat, aucun parti n'en est à l'origine. C'est de la population elle-même, spontanément, qu'est venue la résistance, et c'est cette même population qui a donné à cette résistance une forme si originale et efficace. La révolte populaire fut accompagnée par un vaste mouvement d’autogestion des entreprises en faillite. Autour du slogan « Occuper, résister, produire », entre 8000 et 10 000 postes de travail dans plusieurs secteurs industriels (métallurgie, textile, imprimerie, hôtellerie, alimentation, etc.) ont ainsi été sauvés par les travailleurs et travailleuses dans des entreprises récupérées et remises en marche par leurs propres ouvriers et ouvrières, alors même que la crise financière de décembre 2001 avait poussé les patrons à les abandonner à leur propre sort. Sans contredit, il s’agit de l’un des faits marquants de la réponse des classes populaires qui mérite d’être souligné.


Si le contexte québécois de 2010 diffère largement de celui argentin de 2001, quelques rapprochements sont tout de même possibles. D'abord, la crise qui a touché durement l'Amérique du Nord a fait passer le taux de chômage de 7,2% (le plus bas niveau en 32 ans) à un niveau qui atteindra possiblement 10% en 2010. Pour la région de Montréal seulement, le taux de chômage a déjà atteint les 10,5%. Certains économistes craignent même une seconde crise financière dans un avenir très rapproché. Par ailleurs, l'État et le patronat, sous prétexte de relance économique, se lancent dans une grande offensive néolibérale - en sabrant dans les services sociaux, les conditions salariales et en remettant à l'ordre du jour différents plans de privatisation. Pour couronner le tout, tant les syndicats que les mouvements sociaux sont moribonds et sont en mode survie plutôt qu'en mode combattif, laissant ainsi l'État manœuvrer à sa guise. Dans un tel contexte, que peut-on tirer de l'expérience argentine afin de s'organiser ici et maintenant?

Contre le capitalisme

La première nécessité semble être l'élaboration d'un projet social et politique extra-parlementaire qui aurait pour fondation une authentique démocratie. Peu importe les mesures que les politiciens prendront, ce ne sera qu'en faveur du marché et ce sera nous (les travailleurs, les travailleuses, les étudiants et les précaires) qui en paieront le prix.

L'expérience de récupération d'usine dans un contexte de crise économique serait, dans un premier temps, une nécessité qui permettrait aux travailleurs et aux travailleuses de conserver leurs emplois. On n'a qu'à penser à l'exemple récent de la grève d'Alcan à Jonquière en 2004. Les travailleurs, réalisant les limites de la grève légale, ont relancé la production sous contrôle ouvrier, poussant ainsi le patronat à la négociation - entre autres puisqu'il ne pouvait plus revendre l'électricité non utilisée pour amortir les pertes causées par la grève. Bien que l'expérience argentine soit critiquable à plusieurs niveaux, elle permet à la population de renouer avec une véritable démocratie que la rationalité et le productivisme capitaliste nous ont fait oublier depuis fort longtemps. La réussite d'un tel projet, l'autogestion généralisée, ne peut à long terme réussir sans une lutte globale pour une transformation libertaire et socialiste de la société. Dans un tel contexte, l'auto-organisation des chômeurs et des précaires est indissociable de la lutte des travailleurs et des travailleuses pour l'autogestion de leurs milieux de travail et la solidarité entre les différentes luttes parcellaires est plus que jamais nécessaire.

Contre l'État

L'autre aspect crucial est le principe des Assemblées de quartier et la mise en place de mécanismes de démocratie populaire. Dans un contexte de crise sociale et politique, dans lequel les gens n'ont plus confiance aux politiciens et aux partis, la démocratie par la base est plus que jamais nécessaire. Que ce soit pour des enjeux de quartiers, le logement, la précarité, l'éducation populaire ou la santé (on peut penser au modèle des cliniques populaires des années 1960-1970), seule notre force collective, par la mise en place de mouvements de quartiers, peut amener un réel changement.

L'attente de réformes ou de promesses électorales, la manipulation par les politiciens et les bureaucrates et toutes les formes de concession minent à long terme nos luttes populaires. C'est pourquoi dans le contexte de notre campagne sur la crise nous jugeons important de partager des expériences de luttes collectives afin d'entamer ou de poursuivre une réflexion collective sur les façons de s'organiser ici et maintenant.

pour connaitre chaque arrêt de la tournée, cliquez ici.

samedi, janvier 16, 2010

À vos agendas : Usines sans patrons!

Voici les dates pour la tournée de conférences! Notez que la conférence de Montréal le vendredi 29 janvier sera en anglais, et que celle du mercredi 10 février sera en français.


Usines sans patron : la réponse des classes populaires argentines à la crise économique de décembre 2001 - Tournée de conférences au Québec et en Ontario (Prise 2)

CALENDRIER de la tournée :


Jeu 21 jan - St-Jérôme - Café de rue SOS à 19h00 (314, Labelle)

Sam 23 jan - Waterloo - KWCCSJ à 20h (63 Courtland Ave East)

Dim 24 jan - London - Empowerment Infoshop à 19h (636 Queens Ave.)

Lun 25 jan - Hamilton - Skydragon Centre à 19h (27 King William Street)

Mar 26 jan - Toronto - OISE à 19h (252 Bloor Street West, Room 8-104)

Mer 27 jan - Ottawa - PSAC building à 19h (233 Gilmour St)

Ven 29 jan – Montréal – Université Concordia à 14h00 au 2149 Mackay
(local CI-01) (en anglais)

Sam 30 jan – Sherbrooke – Tremplin 16-30 à 19h00 (95, Wellington S.)

Mar 2 fév – Québec – Université Laval à 11h30 (détails à venir)

Mar 2 fév – Québec - Café-Bar L’Agitée à 20h00 (251, Dorchester)

Jeu 4 fév – Chicoutimi - Café Cambio à 19h00 (405 rue Racine Est)

Sam 6 fév – St-Félicien – Café l’Associé-T à 19h00 (1105, Boul. Sacré Cœur)

Lundi 8 fév – Drummondville – Cégep à 19h00 (Café Clovis)

Mar 9 fév – St-Hyacinthe - Bar Le Zaricot à 20H30 (1450 Rue des Cascades)

Mer 10 fév – Montréal - Uqam à 18h30 au Pavillon N (1205 St-Denis) Local N-M530


Usines sans patrons

Nous traversons l’une des pires crises économiques de l’histoire du capitalisme et les réponses fournies par l'État et ses laquais sont illusoires. En plus, face à cette impasse nos dirigeant-e-s tentent de faire porter tout le fardeau de la crise aux travailleurs et travailleuses.

Comment pouvons-nous répondre autrement à cette crise économique? Pouvons-nous s’inspirer des expériences de luttes qui se sont passées ailleurs dans le monde?

Pour réfléchir à ces questions, l'Union communiste libertaire (UCL) organise cet hiver, en collaboration avec Common cause, une tournée de conférences au Québec et en Ontario sur la réponse des classes populaires argentines face à la grave crise économique qui secoua le pays au début des années 2000.

Du 18 janvier au 12 février prochain, un militant anarchiste de l’organisation Red Libertaria (Argentine) parcourra différentes villes du Québec et de l'Ontario pour nous entretenir sur ce sujet. Il traitera des différentes formes de résistance développées par le peuple argentin pour contrer les effets de la crise: récupération d'usine, création de coopératives autogérées, etc. ainsi que de l'implication des anarchistes dans ces différentes luttes.

Contact au Québec: ucl@causecommune.net
Contact en Ontario: commoncauseontario@gmail.com

lundi, janvier 11, 2010

Workers Without Bosses/Usines sans Patrons

Notre tournée de conférences Usines sans patrons prendra aussi le chemin de l'Ontario conjointement avec nos camarades de Common Cause.
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The popular response to the Argentine economic crisis of December 2001 and lessons for us in Canada - a Québec and Ontario speaking tour presented by the Union Communiste Libertaire (UCL) and Common Cause.

We are going through one of the worst economic crises in the history of capitalism and the answers provided by the state and its lackeys are illusory. In addition, faced with this impasse, our leaders are trying to shift the entire burden of the crisis to workers and their communities.

How can we respond differently to this economic crisis? Can we learn from the experiences of struggles that have happened elsewhere in the world?

To consider these issues, the UCL and Common Cause are organizing a Québec and Ontario speaking tour this winter on the response of the Argentine popular classes in the face of a serious economic crisis that shook the country in the late 2001.

From 18 January to 12 February, a militant from the anarchist organization Red Libertaria (Argentina) will travel to different cities in Quebec and Ontario to talk about this subject. He will discuss different forms of resistance developed by the Argentine people to counter the effects of the crisis such as retaking factories and creating self-managed cooperatives. He will also discuss the involvement of anarchists in these different struggles.

In Ontario, the tour will stop in:

Waterloo - January 23, 6:30pm - 8:00pm
KW Community Centre for Social Justice (KWCCSJ)
63 Courtland Ave East
Hosted by Peaceculture.org and KWCCSJ

London - January 24
TBA

Hamilton - January 25, 7pm
Skydragon Centre
27 King William Street
Hosted by Common Cause Hamilton
commoncausehamilton@gmail.com

Toronto - January 26
TBA

Ottawa - January 27
TBA

The tour will stop in several Quebec cities including Montreal, St-Jerome, Quebec, Saguenay, Saint-Félicien, Drummondville, Sherbrooke. The places and dates of each talk will be publicized soon.

For more information on the Ontario wing of the tour contact commoncauseontario@gmail.com or check here for regular updates.

Infos sur le blogue de Common Cause

jeudi, décembre 31, 2009

Usines sans Patrons (prise 2)


Usines sans patron : la réponse des classes populaires argentines à la crise économique de décembre 2001 - Tournée panquébécoise de conférences (Prise 2)

Nous traversons l’une des pires crises économiques de l’histoire du capitalisme et les réponses fournies par l'État et ses laquais sont illusoires. En plus, face à cette impasse nos dirigeant-e-s tentent de faire porter tout le fardeau de la crise aux travailleurs et travailleuses.

Comment pouvons-nous répondre autrement à cette crise économique? Pouvons-nous s’inspirer des expériences de luttes qui se sont passées ailleurs dans le monde?

Pour réfléchir à ces questions, l'Union communiste libertaire (UCL) organise cet hiver une tournée panquébécoise de conférences sur la réponse des classes populaires argentines face à la grave crise économique qui secoua le pays au début des années 2000.

Du 18 janvier au 12 février prochain, un militant anarchiste de l’organisation Red Libertaria (Argentine) parcourra différentes villes du Québec et de l'Ontario pour nous entretenir sur ce sujet. Il traitera des différentes formes de résistance développées par le peuple argentin pour contrer les effets de la crise: récupération d'usine, création de coopératives autogérées, etc. ainsi que de l'implication des anarchistes dans ces différentes luttes.

La tournée s'arrêtera dans plusieurs villes : Montréal, Saint-Jérôme, Québec, Saguenay, Saint-Félicien, Drummondville, Sherbrooke, etc. Soyez alerte! Les lieux et dates de chaque conférence seront publicisés très bientôt.

dimanche, novembre 29, 2009

[Événements]Éteignons la flamme olympique! Pas de jeux sur des terres volées!

ÉTEIGNONS LA FLAMME OLYMPIQUE!
PAS DE JEUX SUR DES TERRES VOLÉES!

Événements à venir (Montréal):

Le SAMEDI 5 décembre, 17h
Enchère d’art : Résistance créative aux Olympiques 2010
La fête commence à 17h, l’enchère aura lieu de 19 h à 22 h
Au 3942 rue Sainte-Émilie, coin Saint-Augustin
http://www.facebook.com/event.php?eid=182621237549
Organisée par Ste-Emilie Skillshare

Le DIMANCHE 6 décembre, 18h30
Table-ronde et projection de films sur le thème « Pas de jeux sur des terres volées »
Avec des conférencières autochtones de l’intérieur de la « Colombie-Britannique ».
Au Cinéma De Sève, 1400 de Maisonneuve ouest (métro Guy-Concordia)
GRATUIT. Accessible aux fauteuils roulants. Traduction chuchotée de français vers l'anglais.

Venez écouter en personne des activistes et organisatrices autochtones engagées dans la défense de leur culture et de leurs territoires, ainsi que dans la résistance aux Jeux olympiques tenus sur des terres non cédées.

Les conférencières seront :
-> MIRANDA DICK : Miranda est mère de cinq enfants, fait partie du Conseil des femmes de Secwepemc et est une Guerrière pour la Terre et le Peuple. Les Secwepemc de l’intérieur de la « Colombie-Britannique » ont résisté à l’essor de la station balnéaire Sun Peaks sur leur territoire.
-> BILLIE PIERRE : Billie appartient aux nations Nlaka’Pamux et Ojibwae. Elle est impliquée dans le Native Youth Network et est co-fondatrice du magazine Redwire. Elle est également active dans diverses campagnes pour la défense du territoire et des droits de la personne.
-> GUILLAUME B. : Membre du Réseau de résistance aux olympiques à Vancouver.

Cet événement comportera également la projection de courts métrages des Défenseurs de la Terre et du Native Youth Movement (NYM).
Présenté par le Indigenous Solidarity Committee et Personne n’est Illégal - Montréal


Le MERCREDI 9 décembre, 18h30
Soirée film et discussion : La résistances de Vancouver à Montréal
Avec des extraits du film « Five Ring Circus » et d’autres films.
Au 3600 University, salle 112 (métro McGill)
http://www.facebook.com/event.php?eid=184893838998
Organisé par Ste-Emilie Skillshare et Q-Team


Et pour finir en beauté :

Le JEUDI 10 décembre, 17h30 (pile!)

Manifestons contre le passage de la flamme olympique à Montréal
Au coin de la rue Notre-Dame est et de la Place Jacques-Cartier,
Entre Saint-Laurent et Gosford (métros Champs-de-Mars ou Place D’Armes)

!! APPORTEZ DE QUOI FAIRE DU BRUIT !!

Nous encourageons tout le monde à arriver au plus tard à 17 h 30 afin que nous puissions efficacement « accueillir » l’arrivée de la flamme olympique devant l’Hôtel de ville. Les retardataires sont bienvenuEs, mais nous encourageons fortement tout le monde à faire des efforts pour arriver au plus tard à 17 h 30.

Le 10 décembre marque également le triste anniversaire de la démolition de deux sweat lodges, avec la complicité du GRC, par la Station balnéaire Sun Peaks, qui les a remplacés par des pistes de ski. Les sweat lodges sont considérés comme sacrés par les Secwepemc de l’intérieur de la « Colombie-Britannique ».
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Contexte :

À peine quelques mois avant le début des Jeux olympiques d’hiver à Vancouver/Whistler, en février prochain, et à quelques jours du passage du relais de la flamme olympique (commanditée par Coca-Cola et la Banque Royale du Canada) à Montréal, le JEUDI 10 DÉCEMBRE, des activistes de solidarité avec les peuples autochtones et des militantEs pour la justice sociale répondront à l’appel lancé par le Réseau de résistance aux Olympiques en manifestant contre le Relais de la flamme.

Nous soulignons particulièrement notre appui à la résistance autochtone contre les Olympiques en « Colombie-Britannique ». Nos alliéEs Autochtones ont bâti une campagne de sensibilisation et de résistance contre les prochains Jeux olympiques d’hiver à Vancouver/Whislter, et nous manifestons notre solidarité avec leur appel, sous la bannière « Pas de Jeux sur des terres volées! »

Nous dénonçons également tous les autres impacts négatifs de l’industrie olympique, ainsi résumés par le Réseau de résistance aux Olympiques à Vancouver : « Les Jeux ne sont pas qu’une innocente manifestation de la « noblesse du sport » : l’histoire des Jeux olympiques est complètement entachée par les déplacements forcés, l’avarice des entreprises, le fascisme, la répression et la violence. Seules les élites politiques et économiques (des promoteurs immobiliers aux commanditaires officiels) arrivent à tirer profit de l’industrie olympique. Les conséquences négatives des prochains Jeux olympiques d’hiver sont annoncées d’avance: l’expansion du tourisme sportif et de l’extraction des ressources sur des territoires autochtones non cédés; l’explosion de l’itinérance et de l’embourgeoisement des quartiers pauvres; la privatisation des services publics ; des pratiques anti-syndicales, des contrats imposés et des conditions d’exploitation pour la main d’œuvre migrante ; un appareil de sécurité coûtant au minimum 1 milliard de dollars, doublé d’une attaque vicieuse contre les libertés civiles fondamentales ; 6 milliards de dollars tirés directement des fonds publics; une destruction sans précédent de l’environnement ».
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POURQUOI NOUS ORGANISONS CONTRE LE RELAIS DE LA FLAMME OLYMPIQUE
(Tiré du Réseau de résistance aux Olympiques)

La Flamme olympique est un instrument de propagande servant à promouvoir l’embourgeoisement, la répression et la destruction environnementale. L’origine du relais de la Flamme olympique est peu glorieux : c’est à Berlin, lors des Jeux d’été de 1936, que le relais a été inventé pour répandre l’idéologie fasciste des Nazis et promouvoir le Troisième Reich. (Voir l’article du Globe and Mail reproduit ici : http://no2010.com/node/1113)

Le Relais de la Flamme olympique est un truc publicitaire de 25 millions $ servant à dorer l’image de la « Marque olympique » et celles de ses commanditaires principaux. La Banque Royale du Canada et Coca-Cola sont les principaux sponsors du Relais de la Flamme olympique en 2010. RBC est le plus important bailleur de fonds de la dévastatrice exploitation des sables bitumineux en Alberta, alors que Coca-Cola est responsable de la dégradation générale de la santé publique, de par sa place prépondérante dans l’industrie de la malbouffe, est coupable de l’épuisement de sources d’eau potable et de catastrophes environnementales en Inde, et est de connivence avec des groupes paramilitaires violents engagés pour réprimer l’activité syndicale dans ses usines en Colombie.
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Ironiquement, les flambeaux olympiques ont été conçus et fabriqués par la firme québécoise Bombardier, dont la branche aérospatiale est impliquée dans le complexe militaro-industriel québécois/canadien.

Nous vous encourageons à participer à la manifestation « Pas de Jeux sur des terres volées » à Montréal, contre le relais de la Flamme olympique, commanditée par Coca-Cola et la Banque Royale du Canada, le 10 décembre prochain, et à vous renseigner sur les autres événements organisés plus tôt.

Les événements contre le relais de la Flamme olympique à Montréal sont organisés par des membres du Indigenous Solidarity Committee et du Bloc AMP – Montréal (Action mondiale des Peuples), Reclaim!, Ste-Emilie Skillshare, Personne n’est Illégal – Montréal, Q-Team et plusieurs autres groupes.

Renseignements :
Montréal: blocampmontreal@gmail.com - 514-848-7583- www.amp-montreal.net
Pour plus d’information sur l’organisation et la résistance aux Olympiques de 2010: www.no2010.com - http://olympicresistance.net

jeudi, novembre 26, 2009

Dix ans après Seattle : Réflexions sur la mouvance anticapitaliste

Quand?Le lundi 30 novembre, 18 h 30
Où? Université McGill, Leacock Building, salle 232
855 Sherbrooke O. (Métro McGill)

Avec :
**Indu Vashist, coordonnatrice du GRIP McGill. Indu a participé aux manifestations contre l’OMC à Seattle.
**Jaggi Singh, membre fondateur de la Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) et membre de Personne n’est Illégal – Montréal.
**Ben Atkinson, organisateur basé à Seattle.

Il y a dix ans, 100 000 manifestantEs, organiséEs en contingents environnementalistes, syndicalistes, anarchistes, féministes, etc., se sont réuniEs à Seattle pour protester contre les négociations du « Cycle du millénaire » de l’Organisation mondiale du commerce. Ces manifestations n’ont pas seulement réussi à faire dérailler les négociations de l’OMC, elles ont aussi permis d’insuffler une nouvelle vie à la mouvance anticapitaliste mondiale. Cette victoire monumentale a marqué le début d’une série de mégamanifestations un peu partout sur la planète contre la salade de sigles des grands organismes néolibéraux et impérialistes comme le Fonds monétaire internationale et la Banque mondiale (FMI/BM), la Zone de libre-échange des Amériques (ZLEA), le G8, le G20, l’École des Amériques, l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) et plusieurs autres. Le déraillement des négociations de l’OMC aura symbolisé la rage populaire contre le nouvel ordre mondial de l’après-guerre froide et illustré un mécontentement de masse envers le capitalisme et ses partisans.

Les participantEs à cette table-ronde présenteront quelques réflexions sur l’organisation de base avant et après Seattle. Ils/elle parleront des effets qu’ont entraînés pour les activistes anticapitalistes nord-américains cette importante mobilisation contre l’OMC.

Cet événement sera accessible aux fauteuils roulants. Si vous souhaitez un service de garde pour vos enfants, ou si vous avez besoin de traduction chuchotée vers le français, veuillez communiquer avec nous au moins 48 heures à l’avance.

Cet événement est une présentation de :
GRIP McGill et GRIP Concordia

Groupe de recherche d’intérêt public à l’Université McGill
3647 University, 3è étage
Montréal, Québec, H3A 2P3
Tel. 514-398-7432
Fax. 514-398-8976
www.qpirgmcgill.org

lundi, octobre 05, 2009

Usines sans patron - une tournée organisée par l'UCL

Usines sans patron : la réponse des classes populaires argentines à la crise économique de 2001 - Tournée panquébécoise de conférences


Nous traversons l’une des pires crises économiques de l’histoire du capitalisme et les réponses fournies par l'État et ses laquais sont illusoires. En plus, face à cette impasse nos dirigeant-e-s tentent de faire porter tout le fardeau de la crise aux travailleurs et travailleuses.

Comment pouvons-nous répondre autrement à cette crise économique? Pouvons-nous s’inspirer des expériences de luttes qui se sont passées ailleurs dans le monde?

Pour réfléchir à ces questions, l'Union communiste libertaire (UCL) organise cet automne une tournée panquébécoise de conférences sur la réponse des classes populaires argentines face à la grave crise économique qui secoua le pays au début des années 2000.

Du 19 octobre au 15 novembre prochain, un militant anarchiste de l’organisation Red Libertaria (Argentine) parcourra différentes villes du Québec pour nous entretenir sur ce sujet. Il traitera des différentes formes de résistance développées par le peuple argentin pour contrer les effets de la crise: récupération d'usine, création de coopératives autogérées, etc. ainsi que de l'implication des anarchistes dans ces différentes luttes.

La tournée s'arrêtera dans plusieurs villes : Montréal, Saint-Jérôme, Québec, Saguenay, Saint-Félicien, Drummondville, Sherbrooke, etc. Soyez alerte! Les lieux et dates de chaque conférence seront publicisés très bientôt.


Pour plus d'informations : ucl@causecommune.net

U.C.L.
55051 CP Langelier
Québec (Qc) G1K 9A4

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ucl@causecommune.net
http://www.causecommune.net

lundi, avril 13, 2009

Panel: Syndicats et lutte de classe.


Depuis le 19e siècle, les syndicats et le syndicalisme occupent une place prépondérante dans la lutte de la classe ouvrière pour son émancipation, tant en Amérique du Nord que sur le reste du globe.

Plus récemment, depuis près de 40 ans, de nombreuses voix affirment que les syndicats mènent de plus en plus les travailleurs et les travailleuses sur le terrain de la collaboration de classe.

Les syndicats sont ils toujours un outil au service du prolétariat ou au service de la bourgeoisie et de son État ?

Panélistes :
-Ghislaine Raymond, ex-militante syndicale à la Centrale de l'enseignement du Québec (CEQ)
-René Charest, syndicaliste
-Richard St-Pierre, Groupe internationaliste ouvrier (GIO)
-Sid Ahmed Soussi, professeur de sociologie à l'UQÀM, spécialiste du monde du travail et du syndicalisme
-Mathieu Jean, militant des Industrial Workers of the World (IWW)

samedi le 18 avril
14h30
Grande salle du Comité social Centre-Sud
1710 Beaudry
Près du métro Beaudry

Plusieurs groupes dont l'UCL-Montréal y tiendront des tables de littérature.

mardi, février 03, 2009

Rappel:Assemblée publique:Crise économique, crise environnementale, crise sociale.


Quoi?Assemblée publique organisée par le Comité des sans-emploi portant sur la crise économique, crise environnementale, crise sociale.
Quand?Vendredi, le 6 février 2009
17h30 : souper-spaghetti
19h00 : conférence
Où?Au 1710, rue Beaudry (métro Beaudry)

Pour lire le communiqué...

vendredi, janvier 09, 2009

Rappel!Forum internationaliste: La crise économique mondiale. Quelles sont les perspectives pour les travailleurs et les travailleuses?

Contre la guerre et contre la crise!

Veuillez noter que dans le but de favoriser la participation à la fois à la manifestation sur la crise de Gaza et le forum sur la crise économique, le groupe organisateur du forum – le Groupe Internationaliste Ouvrier – veut annoncer que la discussion prévue initialement pour 14h30, commencera à 15h00 pile.



Un forum de discussion à ne pas manquer portant sur la crise économique mondiale.

Des présentations du Groupe Internationaliste Ouvrier(Bureau International pour le Parti Révolutionnaire) et de Perspective Internationaliste, suivies d’une période de discussion.

Quand?Samedi, le 10 janvier à 15h
Où?Centre Jean-Claude Malépart, salle 207
2633, rue Ontario Est, Montréal(En face du métro Frontenac)

Assemblée publique:Crise économique, crise environnementale, crise sociale.


Quoi?Assemblée publique organisée par le Comité des sans-emploi portant sur la crise économique, crise environnementale, crise sociale.
Quand?Vendredi, le 6 février 2009
17h30 : souper-spaghetti
19h00 : conférence
Où?Au 1710, rue Beaudry (métro Beaudry)

Le Comité des sans-emploi Montréal-Centre invite la population à participer à une assemblée publique.
Au programme : présentations sur la conjoncture, annonce d'une action pour le printemps, discussions animées !

Pour arriver à survivre, le système capitaliste doit être en perpétuel développement. Pour ce faire, ceux qui en profitent doivent constamment trouver des moyens de faire plus de profits, plus d'argent, toujours plus et toujours plus vite ! Cette folie provoque une nouvelle crise économique à laquelle s'ajoute maintenant une crise environnementale unique dans l'histoire de l'humanité. Dans le sillon de cette folie, c'est une terrible crise sociale qui se dessine : pertes d'emplois massives, émeutes de la faim, guerres, surexploitation des ressources naturelles et destruction effrénée de l'environnement. Au prix de millions de mortEs, d'affaméEs, de déplacéEs, d'orphelinEs, de blesséEs … des individus se sont construits d'immenses fortunes. Certains de ces charognards vivent ici même, tout près de nous, à la porte d'à côté … Ces individus ont des maisons, des manoirs, des domaines, des châteaux et surtout du pouvoir… et des noms ! Au courant des prochains mois, le Comité des sans-emploi tentera d'identifier, de dénoncer et d'agir contre certains d'entre eux ! C'est la poursuite de notre campagne contre les ostie d'crosseurs !

Une invitation du Comité des sans-emploi Montréal-Centre : cse.mtl.centre@gmail.com

samedi, janvier 03, 2009

Forum internationaliste: La crise économique mondiale. Quelles sont les perspectives pour les travailleurs et les travailleuses?

Un forum de discussion à ne pas manquer portant sur la crise économique mondiale.

Des présentations du Groupe Internationaliste Ouvrier(Bureau International pour le Parti Révolutionnaire) et de Perspective Internationaliste, suivies d’une période de discussion.

Quand?Samedi, le 10 janvier à 14h30
Où?Centre Jean-Claude Malépart, salle 207
2633, rue Ontario Est, Montréal(En face du métro Frontenac)

lundi, décembre 01, 2008

Conférence-débat de samedi dernier

Comme on l'avait annoncé, samedi s'est tenue au 1710 Beaudry une conférence-débat pour tenter de répondre à la question : la voie parlementaire est-elle le terrain de lutte de la classe ouvrière?

Si vous n'avez pu y participer, nous vous offrons d'écouter l'intégralité de l'évènement tel que capté par un camarade sur place. Par ici.

vendredi, novembre 28, 2008

Rappel:Samedi--Conférence-Débat: La voie parlementaire est-elle le terrain de lutte de la classe ouvrière ?


Vous êtes tous et toutes convié-es à un panel de discussion. À quoi servent les élections ? Du point de vue des travailleurs et des travailleuses, la participation aux élections est-elle un piège ou peut-elle représentée un pas en avant ? C'est à partir de perspectives historiques, politiques, économiques, nationales et internationales, que nous débattrons de ce sujet en compagnie d'organisations qui se réclament de différents courants révolutionnaires.


Panel :

Sibel Ataogul (Socialisme international)
Richard St-Pierre (Groupe Internationaliste
Ouvrier)
François Jean (NEFAC)
David Mandel (Gauche Socialiste)


Samedi 29 novembre 2008, 15h00
Grande salle du Comité Social
Centre-Sud, 1710 Beaudry
Entrée gratuite, bienvenue à tous et à
toutes!