Mise à jour des dernières infos que j'ai pu avoir : les flics ont vraisemblablement arrêté tout le monde. Les travailleurs et les travailleuses des Clubs Compassion font face à des accusations de complot, de possession et de trafic de drogues, ne peuvent plus aller travailler (ni s'approcher des Clubs Compassion) et ne peuvent plus communiquer entre eux et elles. Semblerait que ça s'enligne vers un procès devant jury, et les peines pourraient aller jusqu'à sept ans de prison.
jeudi, juin 03, 2010
Police et compassion : incompatibles
Mauvaise nouvelle pour les bénéficiaires du cannabis thérapeutique au Québec. Les poulets du SPVM s'en sont pris aux établissements de Montréal offrant ces services et ont fait pas loin de trente arrestations. Portrait semblable à Québec.
La flicaille invite les malades à s'approvisionner directement chez Santé Canada; malheureusement, de source fiable, ça d'l'air que Santé Canada savent pas comment faire pousser du pot pis que ce qui vient de là est relativement inefficace pour soulager de la douleur.
Évidemment, les médias, eux-mêmes de notoires agents de la paix sociale, nous inondent de témoignages de monsieur-madame tout-le-monde, « ben content/contente que la police nous débarrasse de ces drogues-là pis de leu' junkies profiteurs ».
Petite question en passant : pourquoi le cannabis, qui dans le pire des cas ne fait que rendre les gens un peu vedges, est illégal alors que l'alcool, en vente libre, est bien connu pour alimenter agressivité et violence?
Mise à jour des dernières infos que j'ai pu avoir : les flics ont vraisemblablement arrêté tout le monde. Les travailleurs et les travailleuses des Clubs Compassion font face à des accusations de complot, de possession et de trafic de drogues, ne peuvent plus aller travailler (ni s'approcher des Clubs Compassion) et ne peuvent plus communiquer entre eux et elles. Semblerait que ça s'enligne vers un procès devant jury, et les peines pourraient aller jusqu'à sept ans de prison.
Mise à jour des dernières infos que j'ai pu avoir : les flics ont vraisemblablement arrêté tout le monde. Les travailleurs et les travailleuses des Clubs Compassion font face à des accusations de complot, de possession et de trafic de drogues, ne peuvent plus aller travailler (ni s'approcher des Clubs Compassion) et ne peuvent plus communiquer entre eux et elles. Semblerait que ça s'enligne vers un procès devant jury, et les peines pourraient aller jusqu'à sept ans de prison.
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1 commentaire:
Il faudra continuer sans relâche à dénoncer cet état de fait!
Vive la légalisation de toutes les drogues!
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