La « violence » de quelques chars de boeufs carbonisés (des choses, donc), dont l'image spectaculaire suffit à aveugler certaines personnes, est-elle même comparable à ce qui se trame, en huis clos, dans les coulisses du pouvoir, où l'on cherche les meilleures façons de renforcer un système axé sur l'exploitation du plus grand nombre?
En fin de semaine, le temps me manque pour écrire de longs paragraphes sur comment le système est pourri, comment les boeufs font bien leur job sale, comment les journalistes n'ont jamais été aussi collés au pouvoir. Heureusement, d'autres prennent le temps de le faire (et le font sans doute mieux que moi!).
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