Par ailleurs, 349 homicides impliquant du personnel militaire en service et de soldats qui ont quitté l'armée depuis seulement six ans sont rapportés, soit une hausse de 89 % par rapport à la précédente période de six ans. Environ 75% de ces meurtres impliquent d'anciens combattants en Irak et en Afghanistan. Le journal rapporte que le tiers des victimes étaient des épouses, des conjointes, des enfants ou des proches du meurtrier. Parmi ces victimes, une fillette de 2 ans, dont le père de 20 ans, ayant eu des lésions au cerveau suite à l'attaque de Falluja, la violemment assassinée en la frappant sur un mur. Un autre victime, soit un soldat, a quant à lui été poignardé et brûlé par des collègues au lendemain de leur retour d'Irak.
L'horreur de la guerre se poursuit en dehors du champ de bataille: suicide, désertion et homicide en sont les conséquences désastreuses. Et y'a encore des gens assez stupide pour croire que "les petits gars bien de chez nous" sont là pour faire la paix et apporter la démocratie...Non mais quelle connerie!!dimanche, janvier 13, 2008
Assassins au boulot, assassins au repos...
Dans les médias aujourd'hui, une enquête rapporte une hausse des homicides aux États-Unis commis par des militaires ou des vétérans (New York Times). Le journal a dénombré plus de 121 homicides commis pas des vétérans de longue date de l'Irak ou de l'Afghanistan. Ces meurtres rapportés par le quotidien vont de la fusillade aux attaques à coups de couteau, en passant par des noyades dans une baignoire. 120 de ces meurtres ont été commis par des hommes.
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