jeudi, juillet 30, 2009
Starbucks s'oppose à l'accréditation.
Repris du blogue de nos camarade de Québec
Comme il fallait s'y attendre, la direction de Starbucks a décidé de contester aujourd'hui la demande d'accréditation syndicale des IWW selon Rue Frontenac.
Selon le quotidien électronique des lockouté-e-s du Journal de Montréal, la multinationale emploie le même genre d'argument qui lui a permis de freiner la campagne de syndicalisation des wobblies aux États-Unis. Elle prétend en effet «que l’unité de négociation devrait être composée des quatre établissements dans la ville de Québec ou d’aucun d’entre eux».
Cette tactique avait fonctionné à New York mais à peu de chance de réussir au Québec selon Simon Gosselin, porte-parole des syndiqué-e-s (et étudiant en Relations industrielles...). En effet, il n'est pas rare de voir des syndicats ne représenter qu'un seul établissement d'une même compagnie.
Malgré ces belles déclarations, Starbucks entend donc utiliser tous les moyens possibles pour freiner la syndicalisation. Déjà nous avions appris, grâce au Journal de Québec, que la direction avait rencontré ses employé-e-s il y a deux semaines pour les mettre en garde contre la belle bande «d'anarchistes et de communistes» que sont les IWW (ce qui n'est par ailleurs pas tout-à-fait faux ;-) Mais, bon... Ça promet.
Source: Starbucks conteste une demande d'accréditation syndicale et Starbucks rencontre ses employés
Site du syndicat: http://sitt.wordpress.com/campagne-starbucks/
Comme il fallait s'y attendre, la direction de Starbucks a décidé de contester aujourd'hui la demande d'accréditation syndicale des IWW selon Rue Frontenac.
Selon le quotidien électronique des lockouté-e-s du Journal de Montréal, la multinationale emploie le même genre d'argument qui lui a permis de freiner la campagne de syndicalisation des wobblies aux États-Unis. Elle prétend en effet «que l’unité de négociation devrait être composée des quatre établissements dans la ville de Québec ou d’aucun d’entre eux».
Cette tactique avait fonctionné à New York mais à peu de chance de réussir au Québec selon Simon Gosselin, porte-parole des syndiqué-e-s (et étudiant en Relations industrielles...). En effet, il n'est pas rare de voir des syndicats ne représenter qu'un seul établissement d'une même compagnie.
Malgré ces belles déclarations, Starbucks entend donc utiliser tous les moyens possibles pour freiner la syndicalisation. Déjà nous avions appris, grâce au Journal de Québec, que la direction avait rencontré ses employé-e-s il y a deux semaines pour les mettre en garde contre la belle bande «d'anarchistes et de communistes» que sont les IWW (ce qui n'est par ailleurs pas tout-à-fait faux ;-) Mais, bon... Ça promet.
Source: Starbucks conteste une demande d'accréditation syndicale et Starbucks rencontre ses employés
Site du syndicat: http://sitt.wordpress.com/campagne-starbucks/
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