J'en pouvait plus, alors j'ai mis un peu de musique puis je suis tombé sur un superbe morceau d'un bon vieux groupe punk belge, René Binamé. La chanson s’appelle TicTac. Donc spéciale dédicace a toi, celui qui vit du travail des autres.
Je préfère de nager dans la mer, de faire l'amour au bord de la rivière. Je préfère de câliner sans fin et de boire de la bière sans misère à noyer... que d'aller travailler. Plutôt plutôt jouir que d'aller travailler !La chanson fini, et là surprise! un autre bon titre qui cadre parfaitement avec la triste période des moutons qui pensent que les choses changeront le 4 septembre quand ils iront abdiquer leur pouvoir dans l'isoloir.Attention, les paroles sont écoeurante!
Je préfère de gambader dans la bruyère, de siffler sur la colline, de dormir sur la plage. Je préfère de retourner la terre, de manier la truelle, le ciseau, le laser... que d'aller travailler. Plutôt plutôt jouer que d'aller travailler !
Je refuse d'être tué à la tâche, affamé au chômage pour cracher du profit. Je préfère de suer sang et eau en choisissant pour qui pour quoi où et quand et comment... que d'aller me détruire pour produire des nuisances qui détruisent à leur tour !
Pour découvrir la vie plutôt que la survie, pour ne plus travailler, rien n'est à espérer, tout est à renverser, et sur la table rase, nous pourrons nous aimer...
Si les élections n'étaient pas indispensables à la prospérité du capital, on ne nous les servirait pas partout, toujours, à coup de fric, à coup de flics.D'ailleurs, au sujet des élections, Hors D'oeuvre a sortie un court ( bon, pas si court) métrage qui fait le lien entre la lutte étudiante, la crise sociale et les élections; Lendemain de grève. Ça vaut le détour....
Si le vote n'était pas le meilleur antidote contre nos grèves et nos révoltes, on ne nous l'assénerait pas, à tous les coups, à coups d'assemblées syndicales.
Si le spectacle électoral n'était pas si propice à l'extension du marché, on ne nous le parachuterait pas en casque bleu, sac de riz à la main, mitraillette à l'épaule.
Quand le cirque politicien ne suffit plus à nous faire parler, à nous faire taire, on maintient l'ordre à coups de sabre, on lâche la bride à la flicaille.
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